Le mot Procrastination vient du latin « procrastinatis », « cras » signifiant « demain ».
Nous pouvons – tous – faire preuve de procrastination dans la mesure où il nous arrive – tous – de remettre au lendemain tout ou partie de ce que nous pourrions faire le jour même.
La procrastination est un problème à compter du moment où ce comportement se renouvelle dans le temps et finit par nous empêcher de réaliser un certain nombre de choses.
La procrastination fait appel à des notions d’échec et de réussite au sens où la personne qui souffre de procrastiner a souvent autant peur d’échouer que de réussir.
Une question d’émotions
Au delà des notions d’échec et d’enfermement
que suscite ce type de problème, il est des émotions que nous ne percevons pas nécessairement et qui favorisent la procrastination.
Il n’est donc pas simple de traiter ce problème, lequel nécessite, comme dans toute intervention de thérapie comportementale, une analyse trés précise du comportement qui le supporte.
En effet, des problèmes d’angoisse, d’anxiété, de phobies, de dépression, peuvent aggraver une procrastination « simple » et d’autant plus que la presonne qui procrastine ressent une forte culpabilité.
Neutraliser le mécanisme
Une fois le mécanisme identifié, il devient plus facile
d’apporter une solution au problème de la procrastination non choisie (occasionnellement, remettre au lendemain est aussi une façon de lâcher prise avec le contrôle).
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